Ma Vie De Débauche Continue…Et Empire (Partie 2)

Ceci est la suite de « Le jour où j’ai couché avec mon beau-frère » et « Ma vie de débauche continue…et empire »


Après avoir réussi à entretenir une triple relation pendant quelques semaines, je décidai d’en finir avec Mikaël. Nous étions tous les deux dans un bar en dehors de la ville, je lâchai le morceau :
-On devrait arrêter !
-De quoi tu parles ?
-De nous deux.
Après un long silence, il me demanda :
-Qu’est ce qui t’as décidé ?
Je ne pouvais pas lui dire la véritable raison, lui dire que je couchais aussi avec Sydney en plus de lui.
-Je…je me sens de plus en plus coupable et j’aime Mike, alors je pense qu’il est temps d’arrêter.
Il me prit la main. Mon cœur battait la charade, j’espérais qu’il ne me poserait pas de problème, qu’il accepterait sans broncher.
-Je pense que tu as raison !
Ce fut un soulagement, je n’aurai jamais pu supporter trois relations en même temps, enfin, si on pouvait qualifier de relation ce que j’entretenais avec Sydney.
-Je voulais attendre pour te le dire, mais…j’ai rencontré une fille, me dit-il. Je pense que ça peut devenir sérieux alors, je trouve que c’est mieux en effet.
Je lui souris. C’était déjà une bonne chose de faite. Puis, je pensai à quel point j’étais horrible envers Mike, un garçon si gentil, qui me traitait très bien. Pourquoi l’avais-je trompé ? Je ne savais pas pourquoi, juste que je ressentais un vide en moi, une envie que j’avais besoin d’assouvir.
-A quoi tu penses, me demanda Mikaël ?
-Juste…à quel point je suis horrible.
-Roh ça va ! Arrête de culpabiliser autant, me lança-t-il ! Je vais te confesser un petit secret. Ton cher Mike n’est pas si innocent qu’il en a l’air. Avant qu’il ne sorte avec toi, il couchait avec ma petite amie du moment. Aors disons juste que…je lui ai rendu la pareille.
-Waow !
Alors ça pour une nouvelle, s’en était une grosse. Je n’étais donc pas la première à me retrouver entre ses deux-là.

N’étais-je aussi pas la seule à me retrouver dans les griffes du grand frère ? D’un coup je me senti un peu moins coupable. Ceci dit, Mikaël ne connaissait pas mon autre secret et je ne comptais sûrement pas le lui dévoiler.
-Bon mais…ça reste entre nous, lui demandai-je, je te fais confiance ?
-T’inquiètes, ça sera notre petit secret !
Je le quittai avec un poids en moins sur les épaules.

***

Quelques jours après avoir, en quelques sortes, rompu avec Mikaël, j’avais rendez-vous avec Sydney. On devait se retrouver à 14h30, il était 14h46.
-Tu es en retard me dit-il en m’ouvrant la porte !
-Oh ça va, lâche moi !
Je rentrai timidement, comme si c’était la première fois que je venais ici, alors que je connaissais cette maison par cœur. Ce n’était pas non plus la première fois que je couchais avec Sydney mais j’étais toujours aussi gênée avec lui. La relation que nous entretenions n’avait rien à voir avec celle que j’avais eu avec Mikaël Contrairement à lui, avec Sydney c’était purement sexuel. On ne parlait pas, je ne connaissais pas ses goûts, ses passions, je ne savais pas ce qu’il pensait. A vrai dire, il n’était presque jamais là et je n’avais donc eu que très peu l’occasion de le côtoyer avant que nos parties de jambes en l’air ne commencent.
-Allez, viens, me dit-il tout en retirant sa ceinture.
Je m’exécutai tout en me demandant ce qu’on allait faire cette fois-ci. Aussi surprenant que cela puisse paraître, la situation m’excitait.

Une fois arrivée dans sa chambre, il m’ordonna de retirer mon jeans pendant que lui fit de même. Il s’approcha ensuite de moi et, comme une petite fille, je reculai jusqu’à me retrouver collée au mur. Il déboutonna ma chemise et fit glisser mon string le long de mes jambes. Je sentais la chaleur m’envahir. Je n’avais pas de soutien-gorge et me retrouvai donc sein nus devant ce mâle en rut. Il passa délicatement son index entre mes seins et le descendit jusqu’à mon pubis intégralement rasé.
J’en frissonnai. Il atteint ensuite lentement mon clito, s’y attarda quelques instants et enfonça brusquement son doigt dans ma chatte toute mouillée. Sans même le vouloir, je laissai échapper un cri de plaisir.
-Qu’est-ce que tu comptes faire de moi, lui demandai-je à bout de souffle ?
Un rictus se dessina sur son visage. Il attrapa mes cheveux et me retourna avec force, je me retrouvai face au mur.
-Je compte prendre mon pied et te limer la chatte…comme une putain, me glissa-t-il à l’oreille.
Il sorti sa bite de son caleçon et d’un coup sec, il m’enfourcha. Une deuxième fois, je laissai échapper un cri. Il sorti ensuite lentement sa bite de ma chatte avant de me l’enfoncer une nouvelle fois, encore plus violemment. J’en tremblais tellement c’était bon.

De ses coups de reins sauvages et plein de désirs, il me défonça pendant une dizaine de minute, tout en me balançant des mots crus par ci par là. Ces mouvements étaient brusques, sec, j’adorais ça.
-T’aimes ça hein ! Je sais que t’aimes ça, tu mouille comme une chienne. Au fond tu kiffes quand je te défonce comme ça, tu prends ton pieds… ah!
Effectivement, je prenais mon pied, et ses grognements si virils ne faisaient qu’accroître la sensation de plaisir. Le truc qu’il me manquait, le vide que j’avais, en réalité, se comblait à chaque fois que je me faisais défoncer par Sydney.

Je senti l’orgasme arriver. Il était si fort que je griffai le mur et arrachai le papier peint. Je hurlai de plaisir, sans retenu cette fois.
-Mademoiselle a des tendances sado on dirait, me susurrât-il à l’oreille.
-C’est bon lâche moi, lui répondis-je en essayant de me dégager et en reprenant mon souffle.
-Où est ce que tu crois allez comme ça ? Je n’en ai pas fini avec toi !
Il m’attrapa le bras, me jeta sur le lit et me tourna sur le côté. Il vint ensuite se placer derrière moi, me souleva la jambe et me pénétra une deuxième fois. Je pouvais sentir son souffle sur ma nuque.
Sydney m’agrippait avec une telle force que même si je le voulais, je n’aurai pas pu m’extirper de son emprise. Il accéléra ses mouvements. Je devenais tellement bruyante qu’il me plaqua sa main sur ma bouche.
-Oh que t’es bonne putain, lança-t-il entre deux bourrades.
L’entendre prendre autant de plaisir me fit mouiller encore plus, c’était tellement bon !

Il ne tarda pas à jouir. Je senti son sperme gicler dans ma chatte brûlante et il cria de plaisir. J’étais au septième ciel.

Il resta en moi quelques secondes puis se retira et s’allongea sur le dos. Nous restâmes là,sur le lit quelques instants, sans parler, je pouvais même entendre l’horloge du salon, puis je brisai le silence.
-Combien de temps comptes-tu encore jouer avec moi comme ça ?
Il se leva du lit et me regarda.
-Tu veux me faire croire que ça ne t’a pas plu ? Sous ton air de fille timide, tu es une vraie cochonne, y’a qu’à voir comment tu mouilles à chaque fois que je te baisse, comment tu cris et comment tu bouges !
Il me balança ensuite mes vêtements. Pourquoi est-ce que cela me faisait tant d’effet quand il me parlait comme ça ? Je ne parvenais pas à me comprendre. Il me traitait comme sa chose, un trou sur pied et au lieu d’être offusquée, cela m’excitait. Je n’avais pourtant jamais été intéressée par ce genre de situation auparavant. Bref, le piment qu’il me manquait dans ma relation avec Mike, je me le procurais finalement avec son grand frère Sydney.
-Il faut que tu partes, j’ai des choses à faire, me dit-il d’un ton sec.
Je sorti du lit et je commençai à me rhabiller.

J’avais une petite théorie qui me travaillait depuis quelques temps déjà. J’enfilai mon string de la façon la plus sensuel possible puis je mis ma chemise. J’étais juste devant le miroir de l’armoire et discrètement je scrutais le visage de Sydney. Ce dernier me matait en se mordillant la lèvre. J’en étais quasiment sûre, malgré la carapace qu’il me montrait, il devait bien y avoir quelqu’un d’autre derrière.
J’étais sûre que je n’étais pas simplement son plan cul sans intérêt, certaine qu’au fond je l’obsédais, sinon pourquoi prenait-t-il autant de plaisir à ces jeux tordus ?

Je me retournai, la chemise toujours ouverte. Je l’avais vu détourner le regard à la dernière seconde. Je m’approchai de lui et il se tourna vers moi.
-T’es pas encore parti, me demanda-t-il d’un ton désinvolte ?
-Tu vois bien que non, lui répondis-je.
Son visage n’était plus celui que j’avais vu dans le miroir quelques secondes auparavant, il avait repris le regard dominateur qu’il me montrait toujours. Pour la première fois j’osai le regarder dans les yeux tout en reboutonnant ma chemise. Une nouvelle tension sexuelle m’envahir et malgré l’expression de son visage, je pouvais voir que lui aussi ressentait la même chose. Cependant, je fus la première à détourner les yeux. Je me retournai pour prendre mon sac et me dirigeai vers la porte de sa chambre. Il fallait que je trouve un moyen de prouver ma théorie, de voir si moi aussi j’avais une certaine emprise sur lui ou si je me faisais carrément des films.
-Tu seras là dimanche, lui demandai-je ?
-Dimanche ?
-Oui, tu sais, le repas de famille !
En effet, un dimanche sur deux, ses parents faisaient en sorte que tout ce petit monde se réunisse et j’étais toujours invitée.
-C’est vrai que d’habitude j’esquive, me répondit-t-il amusé, mais cette fois-si j’ai bien envie de venir pour voir comment tu gères le fait d’avoir ton copain et tes deux amants à la même table !
Bingo ! Nous allions voir qui de nous deux réagirait le mieux à la situation, mais si j’avais raison, j’avais une longueur d’avance sur lui.
-Juste pour information, je ne couche plus avec Mikaël, lançai-je avant de refermer la porte.
Je rentai chez moi, comblée il faut bien l’avouer, et avec une seule hâte : qu’on soit déjà dimanche prochain !

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